Circulant indistinctement
entre rue et espace d'ouverture, Yseult investit tout espace qui pourrait
accueillir ses pochoirs et installations, manifestant l'émergence d'un
lieu dans une
appropriation libre et spécifique de la dimension spatio-temporelle
; elle concrétise ainsi errances et visées signifiantes, de
façon sensible et forte, par la mise en uvre d'un élément
plastique auquel elle confère l'envergure d'une présence qui
bouleverse les certitudes.
Les espaces se déconstruisent, les traces s'impriment comme matière
indélébile de la poétique de la ville.